Méta-Baron tome 7 : Adal le bâtard
Plate-forme : Bande Dessinée
Date de sortie : 18 Mai 2022
Résumé | Test Complet
Editeur :
Développeur :
Genre :
Bande dessinée
Multijoueur :
Non
Jouable via Internet :
Non
Test par

Redaction


8/10

Scénario : Jerry Frissen et Alexandro Jodorowsky  
Dessin : Pete Woods

Sans Nom, le dernier Méta Baron de la Caste, le plus grand guerrier de la galaxie a sauvé l'Univers à travers les dimensions lors de la pénurie de l'ephydite et du déséquilibre qu'elle a provoqué. Il semble s'être reclus à jamais de son rôle d'ultime justicier et disparaît des radars. Emerge alors son fils Adal, empli de rage et de ressentiments, qui cherche sa place au sein de la Caste et est à la recherche de son père pour le tuer...

Ce septième tome des Méta-Baron rentre facilement dans la tradition de la Caste et des six tomes précédents avec un aspect space opera bien respecté et une mythologie toujours bien en place. Les personnages sont présentés et les éléments sont disposés pour une conclusion dans le tome suivant, ou en tout cas les finaliser pour plus de développement. Mention spéciale pour l'antagoniste qui s'annonce et se démarque assez des précédents, rendant ce tome intéressant, sans compter un twist important sur un personnage féminin de l'album. Graphiquement, il y a quand même une transition assez radicale avec Sécher et Henrichon, nous sommes sur un style plus numérique mais ça fonctionne très bien ainsi (Pete Woods vient du comics). Quant à l'histoire, nous sommes vite embarqués, il faut avouer que c'est difficile de jauger sans une vue d'ensemble. C'est pour l'instant intrigant tout en respectant les canons du genre. Nous avons été assez ravis de nous replonger dans l'univers Méta-Baron, après la qualité graphique et scénaristique des précédents tomes, il est quand même difficile de s'attendre à mieux ou aussi bien mais vivement la suite !!

VERDICT

-

Après quelques années d'absence, le Méta-Baron revient dans un nouveau cycle de deux tomes, où le protagoniste principal est à peine présent. C'est Adal, son fils illégitime, qui est ici à la manoeuvre et entend bien respecter la tradition pour prendre le pouvoir. Un divertissement parsemé d'apports suggestifs à une mythologie déjà très intéressante.

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